| Kethnyr Il Faägn Messages : 80
 Neÿr : 7965 
♦ Magie liée : Arcanique / Elémentaire (Feu)
♦ Dons innés
- Résistance au feu
- Aura de charme
- Aura d'intimidation
♦ Compétences
- Démagogue charismatique : Kethnyr est un monarque discutable, mais lorsque le débat est ouvert, la majorité juge généralement appréciable de se trouver dans son camp, à partager ses points de vue ou son lit selon la ferveur et les affinités.
- Stratège : Kethnyr a quelques talents pour déjouer les intrigues de sa cour ou les retourner à son avantage. A défaut d'avoir eu à mener de véritables guerres en son règne paisible, il avait plus d'intérêt pour les récits de bataille que pour toutes les autres lectures qu'on eut pu lui imposer en son jeune âge.
- Affinité magique : Mage du feu. L'entêtement Kethnyr et son désir de pouvoir ont peiné à remplacer l'assiduité et la soif d'apprendre qui sont souvent les traits distinctifs des étudiants du magistorat. Les années ont néanmoins fait leur oeuvre, dotant le roi des Khëradas d'une magie destructrice, plus intuitive qu'académique, plus domptée que maîtrisée, telle une torche brandie d'un arbre foudroyé.
Il est à noter que Kethnyr ne fait jamais usage de magie devant témoin, sinon par caprice ou par nécessité. Son passage au Magistorat est un fait connu, mais n'en fait pas pour ses pairs un être de magie, même si toute personne réfléchissant à la question peut se douter que le roi n'a peut-être pas fréquenté l'illustre établissement pour le seul bénéfice d'érudits à séduire, et noter également que tous les maîtres mages à avoir visiter le monarque en son palais n'étaient pas appétissants.
♦ Flamme : Kethnyr peut faire apparaître des flammes dont la vivacité et la pérennité sont tributaires de sa volonté. Dès lors qu'ils sont placés sur un matériau combustible, les feux peuvent persister de leur propre chef et se propager de manière naturelle. Kethnyr peut éteindre aisément ses propres flammes (sans pouvoir remédier à ce qu'elles auraient calciné) ainsi que d'autres, tels une bougie, un flambeau, l'âtre d'une cheminée, mais en aucun cas un véritable incendie qu'il n'aurait pas provoqué.
♦ Piège à sort : Kethnyr n'est jamais parvenu à échapper totalement à la volonté de sa mère de le voir rejoindre les rangs du Magistorat et par la-même d'assister à d'assommantes séances plénières et démonstrations enthousiastes de magie. Dans son ennui, il a appris à capturer l'éther manié par autrui dans une flamme, qu'il crée généralement au creux de sa main. Tant qu'il la maintient, le sortilège ne peut être libéré. Si le créateur du sort renonce à sa magie, la flamme s'éteint d'elle-même (sauf si Kethnyr la conserve volontairement), sinon, l'effet reste suspendu, obligeant le lanceur à maintenir son sortilège. Hélas, le feu alimente sa propre fougue, et les sortilèges libérés par mégarde ont généralement une puissance accrue.
♦ Feu du dragon : Ce sortilège procure à sa cible une guérison stupéfiante et rapide. Ses plaies se referment, ses os se ressoudent, marquant la peau d'un sillon doré qui s'affine et s'étiole au cours du temps, telle une guérison indolore. Pendant ce temps, Kethnyr doit conserver une petite flamme, aussi fragile et vacillante que sa cible était proche de la mort. Si la flamme s'éteint avant que les marques aient disparu, les blessures se rouvrent. Le sortilège en lui-même n'a rien d'agréable, sauf pour les Khëradas immunisés à la morsure du feu, pour les autres, cela fait plutôt l'effet d'une douche de flammes, aussi agréable que de se faire immoler vivant. Mais certains disent que cela vaut mieux que de mourir.
| | |  Sujet: Grimoire de Kethnyr Il Faägn  Mer 14 Aoû - 20:16 |  |
|
